lundi 28 novembre 2011

To kill a vampirebird

Chers lecteur (je sais, je ne suis pas optimiste) et chicks,

En cette fin du mois de novembre, j'imagine que nombre d'entre vous cherche des idées cadeaux pour Papi / Mami / Tonton / Tata (je ne connais pas l'expression en vigueur au Québec, désolée). À part vous trouver une idée qui sort du commun (vu mon état maladif depuis quelques temps, je me suis demandée si mon cadeau ne pourrait pas être "chère famille, pour Noel, je serai votre cobaye de virus de saison : j' attrape tout et ne vous refile rien"), je m'arme à nouveau de mes éternels conseils lecturesques (néologisme oblige). Un titre me taraude d'ailleurs l'esprit, puisque je viens de finir le classique, mais divin Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de la romancière américaine (états-unienne pour les québécois) Harper Lee (1960). Quid de l'histoire ? Dans les années 1930, en Alabama, une petite fille, Scout, raconte un épisode de son enfance marquée par le procés d'un noir, Tom Robinson, accusé d'avoir violé une femme blanche. Ce dernier est défendu par Atticus, le père de Scout. Sur un fond de tensions ethniques, c'est un véritable récit d'enfance que nous livre Harper Lee, entre les jeux de la narratrice et son frère Jem, ses cours à l'école et son rôle de fille et de soeur dans la famille. Le regard d'enfant posé sur un univers d'adulte permet de dédramatiser une histoire tragique et se révèle très révélateur. Finalement, l'auteure nous propose un récit à une voix, mais avec deux (voir plus) lectures possibles, entre fiction et Histoire.

Et puis Novembre rime aussi avec sortie du dernier Twilight (en fait, ça ne rime pas, mais avec la licence poétique, on fait ce qu'on veut). Tu peux donc t'imaginer cher lecteur, que je vais une fois de plus plonger avec passion dans les salles obscures pour me délecter une fois encore des nouvelles incohérences de cette série. Peut- être posterai-je encore sur les nouvelles aventures de nos vampires préférés, ceux qui n'ont jamais entendu parler de Dracula, mais qui en vérité sont des végétariens qui brillent au soleil (des gnous phosphorescents en somme (qu'ils n'oublient pas l'écran total !)). Mais peut-être serai-je finalement séduite et partirai vivre à LA pour tenter de m'enfouir sous la toison cendrée de Robie (après bien sûr m'être tapée l'intégrale de sa filmographie, ce qui devrait prendre une petite journée). L'avenir seul nous le dira.
A propos de la foisonnante chevelure du sus-nommé, voilà l'attitude mode d'automne observée chez mes congénères par chez nous : un joli carré au dessus des épaules (ça c'est pour rattraper les minutes intellectuelles de mes posts).

Alors pour plus de vampires édentés (n'empêche, quand tout le cycle sera terminé, il faudra que je trouve de nouveaux sujets de polémiques peu risquées (peut-être Justin Bieber, s'il n'a pas déjà mué)) et de livres pour paresser sous la couette chauffée,

Restez branchés,

N.D.

1 commentaire:

  1. Oups! J'ai lu en quelque part que Juuuustin avait mué en allant enregistrer une chanson. La fin pour lui, ou «ce n'est pas fini, c'est rien qu'un début»?

    Je vais attendre la sortie de Twilight outre cinéma pour rire à moins de frais! Et surtout voir par la suite la savoureuse parodie de Hillywood Show!

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