mardi 26 avril 2011

Trop ... de souliers

Et oui, encore moi et une toute nouvelle collaboration spéciale (qui devient beaucoup moins spéciale, la troisième fois! Tiens, peut-être que du coup mes collaborations vont devenir des « trop » elles aussi.....) alors, après la tentative de faire rentrer tous mes livres dans mes bibliothèques (et là, je ne parle pas de la pile qui s’accumule côté de celle devant contenir mes livres de cours!) cette semaine, je me suis lancée dans le rangement des nombreuses paires de souliers dont j’ai pu faire l’acquisition.....et il doit bien en avoir pour toutes les occasions...En effet, en tant que jeune femme, nous avons particulièrement le don d’en acheter, probablement un peu trop et....d’avoir quelques difficultés à s’en séparer....

Ainsi, il y a les « oh mon dieu, il me faut ces souliers! », « 3 pour le prix d’une paire, une aubaine!», « ah non, je refuse de m’en débarrasser, trop de souvenir »......et j’en passe!!!! Malheureusement, il est particulièrement difficile de tout faire rentrer dans un placard et oui...il faut faire du tri......Alors, voici donc les étapes de tri/rangement et conservation de quelques paires de souliers.....

La toute première chose a faire, c’est de rassembler TOUTES les paires de souliers qui nous appartiennent en un seul endroit.....oui oui toutes, même celles se trouvant sous le lit ou dans le fond du placard (depuis tellement longtemps, que l’on en a oublié l’existence....). Ensuite, les séparer par types (souliers de courses, bottes, bottines, ballerine, souliers à talon, sandales, «clipclap » (aussi appelé « gougoune ») et les chaussons).... Il faut faire le tri et les vieux souliers de courses tout usé que vous n’utilisé plus depuis des siècles et qui prennent la poussières : poubelles! Les sandales à talon cassé (qui nous font marcher de travers) : Poubelles!!! Et oui, je suis très consciente que cela brise le coeur de jeter des souliers que l’on a depuis notre tendre enfance et qui ont toutes une histoire. (Pour ma part, je me suis brisée le coeur à trois reprises...). Maintenant que le tri est fait, évitez d’aller en acheter des nouvelles pour remplir les possibles trous.....trois paires de souliers jetés ne signifient pas de devoir en acheter trois autres (ou quatre) pour les remplacer.

Pour le rangement, le plus simple, c’est d’utiliser une « étagère » à soulier...qui s’allonge afin de pouvoir en mettre plus!!
(le bon point de ces étagères, c’est comme c’est fait pour porter les souliers, ca ne devrait pas céder malgré le poids....)


Et il faut séparer les souliers par type. Donc en haut, les bottes, cela va de soit 

et n’oublions pas les bottes de neiges et de plus qui sont seules et abandonnées, car elles n’entrent pas sur ladite étagère..

Deuxième étage : les ballerines, toujours bien les mettre en ordre, afin d’être prêt en tout circonstance de retard et de savoir lesquelles prendre....ensuite, les sandales à talons...et oui, il en faut de toutes les couleurs, pour chaque ensemble, chaque situation.....
(pour ce qui est des ballerines ou sandales de même type mais de couleur identique et de leur utilité...cela fera probablement partie intégrante d’une future chronique....d’ici quelques semaines...)

Dernier étage, les souliers....  « passés de mode », que pourtant on préfère garder en se disant « ca va bien revenir à la mode un jour »......oui, oui les talons à plate-forme...je vous jure que j’en ai vu plein de sortes différentes dans les magasins...donc ça doit forcément revenir à la mode (« il paraîtrait que la mode tourne »).....donc autant les garder....... Après avoir installé tous ces souliers, cela va de soit, il en reste plusieurs à côté et...plus de place....la solution? Les placer SOUS l’étagère (oui, oui je vous jure!), les « clipclap » et les sandales plates se glissent parfaitement dessous....et elles ne nous encombrent pas le moins du monde.....contrairement aux bottes qui prennent de la place à côté de ladite étagère.....

Toujours des souliers et encore moins de place.....pour ma part, les souliers de courses sont des souliers particulièrement très utilisés (surtout durant la période d’été), donc...pouf directe devant l’étagère, juste à côté des différentes paires de chaussons....

Malheureusement, les souliers, comme les livres, il est difficile de les plier ou encore de les rouler pour les faire rentrer dans les placards...donc pas le choix, il faut faire un tri....et même s’il est parfois difficile de se séparer de différentes paires de souliers auxquelles on tient particulièrement, si ils nous écorchent les pieds, mieux vaut nous en débarrasser...trop de douleurs....

Et finalement, lorsque vous voyez une SUPER aubaine de trois paires pour le prix d’une ou encore, achetez en une et obtenez la deuxième à moitié prix....retenez –vous et acheter ce dont vous avez besoin et non pas ce que l’on veut que vous ayez besoin...sinon cela vous apportera de vous retrouver avec de nombreuses pairs de souliers portant le doux titre de « peut-être »...et surtout, de « trop »..... et malheureusement, il n’y a pas de solutions miracles pour les ranger...et ce n’est pas faute de ne pas avoir essayé d’en trouver une .....


Sur ce, maintenant, il faut s’attaquer au « trop » de vêtements......ou encore de paperasse universitaire.....

F.G. (Collaboratrice habituée)

vendredi 22 avril 2011

Trop... de livres

Suite à ma collaboration spéciale précédente, un commentaire est apparu disant qu’il faudrait écrire à propos de la manière “de faire le vide”.....Ceci est une excellente question.....  Cependant, il ne faut pas se cacher qu’il est particulièrement difficile de se séparer de certaines choses que l’on a depuis si longtemps....Prenons pour exemple la superbe paire de sandale que l’on portait à notre bal de finissante et qui nous font atrocement souffrir dès qu’on les porte, ce que l’on évite justement de faire!! (De ce fait, elles prennent gentiment la poussière, jusqu’à une possible utilisation) Et pourtant, on refuse catégoriquement de s’en débarrasser...sait-on jamais, un jour, ils pourraient être utile...même si l’on a au-moins deux autres paires qui pourraient faire le même travail...sans nous créer la moindre ampoule!!!!!  Et oui, ces « trop », nous amène à créer des « peut-être »....

De ce fait, la plus grande question, le plus grand dilemme se trouve surtout dans la manière de conserver et d’entreposer tous ces « peut-être ».....Ici, nos verrons donc de qu’elle manière, il est possible de TENTER de conserver tous ces « trop », principalement composé de « peut-être » (et cela, sans oublier tous les futurs « Pourquoi pas » qui rempliront nos vies  et accessoirement....nos placards.....)

Tout d’abord, attaquons-nous aux livres.....
Les étudiants, nous avons toujours une raison d’en acheter, que ce soit pour les cours (des livres obligatoires dont on ira jamais plus loin que le premier chapitre....et encore!), des dictionnaires sur les multiples langues étudiées (latin-français, français –latin....), des grammaires expliquant les exceptions et règles desdites langues.  Mais surtout, n’oublions pas, les dizaines de livres que l’on achète pour le plaisir, que l’on reçoit en cadeau et que l’on compte finalement lire durant les vacances d’été.  (Et là, je ne parle pas des livres que l’on achète dans leur langue d’origine, car on ne peut pas supporter d’attendre la version française...que l’on achète aussi, prenons note!)

Ainsi, ces livres peuplent nos vies et poussent comme des petits pains...mais comment faire pour les conserver?  Il faut bien évidemment commencer par différencier les livres de cours de ceux pour le plaisir.  Ensuite, mettre de l’ordre entre les formats poches et les « briques ». Dans les différents bibliothèques, après avoir décidé un ordre, en place des livres, lorsqu’il n’y a plus de place, on met une deuxième rangée! (Ceci n’est un secret pour personne!) Et surtout, bien porter attention à mettre les livres nous paraissant les plus « intelligents » en avant.....gardons-nous de cacher nos petits livres de jeunesses (que l’on adore relire) derrière en cas de visite surprise....

Plus de place et encore des livres?  Priez que votre (ou vos) bibliothèques soient solides, car l’étape suivante logique : empiler des livres à l’horizontale sur les rangées.....Et dans le cas, où il n’y a plus moyen d’en faire entrer un seul....Deux choix : Courir chez Ikéa pour acheter une énième bibliothèque  ou commencer à empiler les livres SUR la bibliothèque (si ce n’est déjà fait!)

Au final, tous ces livres que « peut-être » nous relirons un jour ou qui nous seront « peut-être » utiles prennent de la place....et on peut difficilement les plier/les rouler  ou les pousser pour tenter de les faire entrer plus facilement dans les bibliothèques.

Dans le XXIe siècle auquel nous appartenons, il ne faut pas oublier qu’il y a toujours diverses possibilités pour échapper à tout ça.  La principale?  Les bibliothèques publiques (ou universitaires)!!  Et oui, pourquoi acheter un livre que l’on ne lira probablement qu’une seule fois dans sa vie? (Combien de personne achète des livres sur les conseils d’un ami et qui pourtant, n’arriveront jamais au bout, car étant trop ennuyant pour eux!?!)

Autre solution?  Le livre électronique!  Et oui, un tout petit engin, qui peut contenir bien des livres et qui prend tout au plus, la place d’un seul....

Pour les autres catégories de « peut-être »…il va falloir que je tente de ranger les miens….

F.G. (Collaboration spéciale)

mercredi 20 avril 2011

Rêver

Bon, ce blog semble un peu déserté en fin de session. Ou peut-être sont-ce nos vies qui le sont (eh beh, ça commence bien), en raison de travaux à finir ou repos après travaux ? Je propose donc une fois de plus le post que "si tu ne le lis pas, ta vie pas en changer, mais ta culture certainement."

Si tu suis bien ma vie, cher lecteur, je suis plongée en ce moment dans l'univers de Zola. Et ce, jusqu'au cou (voire la racine capillaire). Alors, chaque jour, ce sont des plongées dans l'univers du petit peuple, leurs souffrances, leur rejet de la société, et une garantie de la mort de l'héroïne pourtant si attachante (à quelques exceptions près). J'avoue, cette peinture est assez grossière de la littérature zolienne. En effet, toutes les héroïnes ne meurent pas, j'en ai d'ailleurs trouvé une qui a un happy ending (Denise, dans Au Bonheur des Dames). Depuis Zola, ma vie n'est donc que joie, bonheur et allégresse (et mon mâââri désespère de m'entendre dire : "mais c'est trooooop triste).

C'est cependant avant-hier que mes préjugés littéraires ont basculé. En effet, sur les conseils d'un professeur qui m'a conseillé de me référer à à peu près la moitié des Rougon-Macquart, je suis tombée sur Le Rêve. Pour tout vous dire, un véritable ovni. C'est l'histoire d'une petite roturière, qui rêve de rencontrer son prince charmant (la terminologie est exacte) et puis un beau jour, devinez quoi ? Il arrive ! Le lecteur se pourlèche les babines, s'attendant à un prince pas si charmant que ça, comme l'amant de Madame Bovary, dans un style ironique auquel il est habitué. Que nenni ! L'amour est réciproque, et les deux protagonistes vivent un véritable conte de fées. Je vous l'avais dit : un ovni ! Ce roman qui baigne dans un mysticisme omniprésent est très agréable à lire, un peu surprenant donc, et assez court (donc pas d'excuse pour ne pas le lire). Et puis, la fin est assez incroyable (pas de spoiler!)


Faut bien avouer qu'avec tous ces conseils livresques, je fais pas beaucoup monter nos stats (pas autant qu'avec Twilight). C'est que j'attends avec impatience le retour de ma québécoise préférée(qui nous a abandonnées pour aller se saouler dans des pubs) pour aller magasiner et autres réjouissances printanières ! Alors, très prochainement, je trouverai un sujet plus hot et un débat encore juteux (du genre, hippopotame est-il plus fort que l'éléphant ?).

Alors pour plus de chocs filmographiques, de lectures conseillées et de rêves éveillés,

Restez Branchés.

N.D.

samedi 16 avril 2011

Un jeu de trônes

Je vous ai déjà parlé de mon livre détente du moment : Game of Thrones, que je lis en version française Le trône de fer. Évidemment, je n'ai pas vraiment choisi de lire la traduction, je ne le fais que parce que l'anglais et moi ça fait au moins plus de deux (jusqu'à plus l'infini, diraient les mathématiciens). J'ai du mettre de côté cette lecture, études et livres boring oblige (franchement, la socio-critique d'une poésie anonyme d'environ du 14e siècle, ça intéresse qui ? (ne cherchez pas cet ouvrage qui n'existe évidemment pas, c'était histoire d'illustrer l'exemple de livres trop spécialisés, même si je me sens malgré moi intéressée par ce titre que je trouve aguicheur)).

Bref, tout ça pour annoncer un événement que mon chum et moi-même attendons avec impatience : la sortie de l'adaptation du Trone de Fer à la télévision. La première saison (c'est donc une série qui est attendue) commence demain ! Adepte de séries, j'espère néanmoins que celle-ci sera réussie et piste avec ferveur la sortie des trailers qui attisent mon impatience (le cercle vicieux, en somme). Les acteurs ont l'air plutôt bien choisis. Pas de grosse surprise, du genre "ah mais lui je l'imaginais, plus petit, roux et avec des moustaches". Cerise sur le pamplemousse (eh bien oui, avec l'été qui arrive, on peut pas trop se permettre le gâteau) : Sean Bean y joue un rôle important (pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est lui joue le personnage de Boromir dans adaptation du Seigneur des Anneaux par Peter Jackson (parce que la première adaptation, elle est toujours sur ma liste d'attente)).

Morale du  soir : demain, tous devant vos écrans (petits ou grands), sur HBO (enfin, si vous et/ou vos ordinateurs vivez sur le territoire américain).

N.D.

vendredi 15 avril 2011

Voyage voyage...

Tu sais que tu voyages beaucoup quand...

  1. Tu ne peux pas ne pas apporter un truc «parce que tu l'as toujours apporté»
  2. Tu as tout prêt une trousse de toilette
  3. Ça te prend 1 heure faire ta valise et non plus 1 semaine
  4. Tu as 20 euros en petit change
  5. Tu sais comment apporter plus de vêtements en moins de place
  6. ... mais tu ne sais jamais comment apporter moins de vêtements...
  7. Tes précédents articles de voyages sont rendus non-portables
  8. Tu regardes ton sac à dos qui a coûté la peau des fesses en disant que finalement c'était un bon achat rentable
  9. Tu sais qu'il te faut deux crayons et un bâton de colle pour ton carnet de voyage
  10. À toi, lecteur, d'en rajouter (si si, il y a le mot «commentaire» en bas!)
F.D.

Trop c'est trop

Dans la cuisine: trop de vaisselles inutiles!
Dans le salon: trop de Dvds...et les Cds...encore pire
le bureau: trop de papiers (du aux interminables recherches pour un certain mémoire!)
la chambre: trop de livres!
le placard: Vraiment trop de vêtements!!! et les souliers.....beaucoup beaucoup trop!!!!!


Ce petit mot de quatre lettre fait grandement partie de nos vies, voir même trop partie de nos vies (et oui, encore un!)

On est toutes conscientes que l’on a tout en trop, et pourtant...Une aubaine dans un magasin de trois paires de bottes pour le prix d’une....tiens, on a un besoin urgent de nouvelles bottes! La place...bah, un simple détail, rien de bien grave!

Et une vente de livre à 1$...autant en acheter le plus possible...de toute façon, on n’a déjà plus de place et ils s’empilent à l’horizontal...donc, un de plus ou de moins, qu’est-ce que cela peut bien changer?

Bon, le trop de vêtement, c’est assez difficile d’ajouter une extension au placard....bon, il n’y a qu’à déménager ceux que l’on porte le moins chez notre “presque soeur” et on a de la place...le seul détail étant que maintenant, c’est elle qui est envahie par le TROP!
Et oui, c’est un cercle vicieux....personne n’y échappe.....

Au final, peu importe ce que l’on fait, le trop sera toujours là et va continuer de nous poursuivre....donc il n’y a pas d’autres choix ….il faut l’assumer.....

Là, il faut faire attention, je ne dis pas d’acheter compulsivement, et inutilement, mais simplement de TROP se sentir mal en cas d’un achat soudain et surprise......ou tout simplement afin de se faire plaisir! Car, dans tous les cas, on en a déjà TROP!

F.G. collaboration spéciale

lundi 11 avril 2011

Une question de degré(s)

Aujourd'hui  je vais contre-balancer mon post précédent, dont le but - je ne vous le cache pas - était d'appâter la spectatrice attendant avec fureur la sortie du dernier Twilight (je comprend sa souffrance, bien que je ne la vive pas). Bref, fans de vampires, rangez vos canines en latex, je vous permets de faire l'impasse sur ce post qui parle de ma vie - littéraire j'entends, l'autre n'est pas très passionnante.

Bref, tout ça pour couper court à un cliché déjà trop entendu sur nous, pauvres étudiantes en littérature. En effet, lorsque je réponds à la question "Que fais-tu dans la vie ?" Je m'attends plus ou moins à la réponse : "Quelle chance de pouvoir lire des livres toute la journée !" Oui, mais non. J'avoue, c'est très agréable d'avoir du temps pour lire. Cependant, et je rejoins là le titre de ce post, lire, oui, mais comment lire ? En fait, l'étudiant peut réaliser plusieurs types de lecture. La plus commune - dans le cadre d'un roman - est le "je lis, j'analyse, je note". De fait, la lecture peut devenir rapidement un travail assez fastidieux, puisqu'il faut traiter d'un texte à l'aide de plusieurs degrés de compréhension : contexte de l'œuvre, situation de l'auteur (sans considérer l'œuvre fictionnelle comme une autobiographie), insertion parmi les autres œuvres, sous-entendus des passages (sans extrapoler), etc. Ainsi, j'ai récemment pu traiter d'un texte au premier degré, en relevant toutes les accointances avec d'autres œuvres, en oubliant totalement de penser aux autres degrés de lecture (notamment l'intention satirique de l'auteur). Sans le regard d'autrui - autrui se nomma A.D. - j'aurais ainsi pu passer sous le sens de l'œuvre. Lire n'est donc pas (seulement) une distraction. Et oui, il y a des fois où c'est difficile de se mettre à une lecture.

Après ce bref communiqué pour la défense des littéraires, je souhaite vous faire part de mon grand bonheur lié à l'arrivée du printemps. J'entamerai prochainement un pas en avant en rangeant mon manteau d'hiver -si beau, mais pourtant trop chaud - et en achetant un manteau dit "de mi-saison".

La morale du jour : En littérature comme en température tout est question de degrés (sauf lorsqu'il s'agit de Fahrenheit).

Restez Branchés.

N.D.

samedi 9 avril 2011

Encore une réflexion historique

Bah oui. La vie n'est pas fait que de mode et de livre. Notre vie s'inscrit dans le cours de l'Histoire, avec un grand H, je trouve donc bien d'y penser. 

Cette réflexion vient du 11 septembre 2001, comme ça va bientôt faire 10 ans (déjà). 

Cette journée-là, jeune étudiante du secondaire, j'errais dans les couloirs de mon école quand je sentit une atmosphère de panique. J'entendais des bribes de conversations par les professeurs ou le personnel. Mais je n'avais aucune idée de ce qui se passait, et m'en souciais dans le fond assez peu.

En rentrant chez moi, la télévision était ouverte, et, devinez quoi! à TOUS les postes ou presque on voyait les deux tours tomber. La Presse a publié la journée même une édition spéciale en papier glacé racontant les événements. Je ne crois pas que ce soit arrivé après.

Bref, moi, du haut de mes 14 ans, je vivais un moment historique, mais je ne le savais pas. Oui, c'était impressionnant. Terrifiant même (je faisais le calcul: est-ce que des méchants allaient attaquer le stade olympique?!). Mais somme toute, je ne savais pas l'ampleur de cet événement.

Mais imaginez! La guerre en Irak, les morts, les armes de destruction massive, la chute de Saddam.... Whoa! Maintenant, le 11 septembre 2001 est passé à l'Histoire. 

Est-ce que mes enfants ou petits-enfants vont me demander «c'était comment?» 

Quoi d'autre passera à l'Histoire?

Est-ce que les Égyptiens terminant les pyramides se sont dit «oui, dans 3000 ans, ça tiendra encore et on en parlera»?



Est-ce que les Romains utilisant le Colisée comme carrière avaient conscience qu'ils détruisaient un monument qui serait admiré plus tard?



Est-ce que l'assassin de François Ferdinand d'Autriche pensait qu'il déclencherait la Première Guerre mondiale?




Non, évidemment. Mais on peut se demander ce qui passera à l'Histoire et que l'on vit maintenant.

Peut-être pas Coco le Kamikaze en tout cas! :-p

Red is Dead (or not)

(Sous-titre: Enfin! Un article capillaire!)

La fin de session me donne des envies de changement.

Je voulais d'abord me faire blonde (avec des mèèèches comme les surfeuses bronzées dans la pub Roxy)

(légende: haha je suis trop maigre et trop blonde, ma vie n'est que rigolade perpétuelle!) 

...et je me suis dit (et mon homme m'a dit) que j'étais BIEN trop blanche et BIEN trop ronde de la face pour me faire blonde et que ce serait laid (loué sois-tu, bon sens)

Finalement j'ai opté pour le rouge. Quand il était temps de choisir ladite couleur chez Jean Coutu une vendeuse providentielle s'approcha de moi pour me dire " C'EST TROP TENDAAAANCE! Criss de tabarnak [n.d.l.r]"

Soit.
La preuve


(Rhiannouch)




(Scarlettito)




(illustre inconnue - non sérieusement qui est cette femme? ) 


Comme je ne recule devant aucune peur du quolibet, j'appose ma photo à celle de Rhianna et Scarlett... (ouai je suis comme ça moi)



Allez c'est le printemps, soyons fous!
Et avec un peu de chance, obnubilés par ma crinière de sang et de feu, les professeurs en oublieront de m'écouter durant mes deux présentations de la semaine prochaine. Et me mettront A+ grâce au pouvoir du rouge.

Paix et amour
A.D

vendredi 8 avril 2011

Amicitia, amicalis, amicarius...

Le dictionnaire étymologique de la langue latine, de Ernout et Meillet, nous le prouve: le terme que l'on traduit aujourd'hui par «amitié», et donc le sentiment, viennent de loin. Je ne sais pas le mot en égyptien, mais il existe sûrement.

Pourquoi cet introduction classique? 

Tout simplement, ami lecteur, parce que l'amitié c'est quelque chose de chouette, de fort et fragile. Et de vraiment bien. J'ai deux super copines que je connais depuis mes débuts dans le monde scolaire, il y a de cela un bail. J'ai pratiquement passé les 3/4 de ma vie avec elles. Et depuis, j'ai connu pleeeeiiinnn d'autres personnes, tout aussi importantes. Citons au passage «Castor» (pas l'animal, le dieu grec) qui se reconnaîtra, et bien sûr mes deux Chicks favorites! 

Cher lecteur, quand as-tu dis la dernière fois à tes amis combien tu appréciais leur présence? Personnellement, je ne le fais pas assez. Et il le faudrait, car, sans mes ami(e)s, que deviendrais-je?

C'est pourquoi, ici, je souhaite tous les remercier. De leur écoute, de leur humour, de leur bouffe, de leur soutient, de leur joie, de leurs sourires, de TOUT! Merci!

Et pour les Chicks: je vais m'ennuyer des réunions-bouffes dans le bureau. 

Voilà! prenez un moment, et appelez/écrivez donc à votre ami. Je suis certaine qu'il sera super content!

Bon printemps!

F.D.

Chapeau tricorne et pas de bottes!

OUI! ENFIN!

Lecteur, tu le vois, tu le sens, tu le hume, le printemps est là. Il y a ce parfum de terre qui  chauffe tranquillement, ce soleil qui réchauffe doucement, les bourgeons qui poussent aux branches. Et autre signe indubitable: les terrasses des cafés/pub de St-Denis se remplissent!

Devant donc rendre visite à une des super Chicks, j'ai décidé d'aller contre la Mode toute de blanche vêtue cette saison, et d'y aller avec grand renfot de couleurs. D'où les socquettes rayées mauves/gris/noir et les souliers à carreau rouge/noir. 

Mais surtout, et cela fera l'objet d'un autre post plus tard: le chapeau. Tricorne aujourd'hui. Merci à mon super ami pour le cadeau!

Marchez dans la rue avec un tricorne, et comptez «pour le fun» le nombre de regards que vous attirez. Puis, le nombre de commentaires (positifs, je vous l'assure) (ok, sauf les débiles qui demandent, mais ils sont rares, «sais-tu que l'Halloween est terminé?» - «Nonnnnnn!!! Pour vrai?!»). C'est chouette de faire sourire les gens!

Alors, en attendant de ressortir les bottes de pluie (ne regardez pas la météo, c'est déprimant!), profitez bien du soleiiiiil! 


F.D.

Le choc des Titans - suite et fin.

Tantôt je promettais un article capillaire. Chose promise : chose due.
C'est en réalisant la comparaison entre Twilight et Dracula, que j'ai eu envie de travailler sur un comparatif entre les films. Les adaptations de livres, ça passe ou ( en général), ça casse. Par exemple : Troie. Mes amies latinistes pourront vous faire une liste exhaustive de choses qui transforment le chemin de Troie en chemin de croix (oui, je me sens d'humeur jouasse ce matin). Aujourd'hui, je pense que ce film est plus connu comme celui où Brad Pitt est à son avantage. D'Homère : nul ne se souvient.

Pour revenir à mon projet, je souhaite faire un comparatif  assez sommaire de ces deux films. Alors, oui, une fois encore, j'ai poussé le vice un peu trop loin (Maurice). Je l'avoue, j'ai vu le (que dis-je), les films en question. Et franchement, pour regarder Twilight, je ne saurai que trop recommander un sens de la dérision et une capacité à le voir au millième degré. Et là, je te promets lecteur une à deux heures de rires non-stop.

Pour moi, ces adaptations, ce sont avant tout des acteurs pour incarner les personnages. Dans l'un, le casting  remplit son boulot : Gary Oldman, Keanu Reeves, Winona Riders et Anthony Hopkins. Excusez-moi du peu. Pour les acteurs de Twilight, on sait plus trop. On ne sait pas si c'est eux qui jouent mal, ou si c'est impossible de transcrire le comportement  prépubère d'adolescents en émoi du livre au grand écran avec une demande en mariage, des scènes d'amour et de jalousie peu convaincantes. Juste une mention spéciale au père de Bella, seul rescapé du naufrage.Et puis, des adaptations, ce sont aussi des ajouts. Même si je ne suis pas totalement convaincue par l'ajout d'un passé amoureux à Dracula et d'une raison de séduire Mina, que penser des délires du script dans le second film ("Tiens, si la mère de Bella lui faisait cadeau d'une couverture, ça devrait nous rajouter quelques minutes au film ?)


En conclusion : Dracula est un vrai film de vampires, avec sang, sexe, frissons. Twilight, c'est plutôt à mon sens une parodie du genre. Franchement comment rester de marbre devant un jeu d'acteurs aussi hot qu'un troupeau de gnous au  repos. Heureusement, y a de jolis paysages. Devant conclure rapidement ce post, je ne me lancerai pas dans une analyse plus poussé. Alors non. Ne me lancez pas sur la piste des autres échecs (maquillage, décor...)

Enfin, pourquoi intitulais-je ce post "article capillaire". Si tu es bien attentif, lecteur (oui, parfois je te tutoie, parfois je vous vouvoie, c'est un peu ça la magie du "à part mes chicks, je ne sais pas qui me lit, en fait, je pense que seules mes chicks me lisent, de fait je me permet des libertés d'appellation"(c'est un peu long, je l'admet)), tu remarqueras que les deux héros/vampires possèdent en commun une pilosité fort développée. Gary Oldman, c'est le brun ténébreux : cheveux longs, regard séducteur, il est l'hypnotiseur idéal. Difficile alors après ça de tomber dans le piège du supposé E. Cullen qui tente de rivaliser avec une coiffure apparemment sophistiquée. Là, par exemple, je regarde sa photo et le doute s'installe en moi. On ne sait pas trop ce qui ne marche pas : est ce la mèche, les pics ou la coloration ? Je ne saurai que trop lui conseiller l'utilisation d'un peigne et lui rappeler ce dicton bien célèbre : en gel, comme en toute chose, point trop n'en faut.

Sinon, vous avez peut-être vu une absence des chicks sur ce blogue. C'est que pour nous, fin de session rime avec une miriade de travaux. Donc, attendez-vous à une reprise de notre activité scriptorale d'ici une à deux semaine. Mais promis, on ne vous oublie pas.

En attendant, restez branchés.

N.D. (qui décidément ne prend pas beaucoup de risques dans ses parti-pris).

dimanche 3 avril 2011

Petite défense de la littérature québécoise

Après mon dernier article dont l'intérêt culturel reste à mesurer, je me propose aujourd'hui de parler de ma dernière découverte littéraire. Si vous avez bien suivi ma vie littéraire (qui est fort trépidante, ça vaut bien un épisode de Plus belle La Vie, non ? ), je glorifiais récemment les Classiques. Je ne compte pas reprendre mon idée ici, mais des fois j'aime l'improblable. Par exemple, suivre des cours de Littérature Québécoise (à l'UFR de Littérature Française, et non pas francophone, enfin, ça Catherine Mavrikakis en parle mieux que moi). Je précise que je n'ai aucune culture en la matière québécoise (je connais les Têtes à claques et les Cowboys fringuants, mais je doute que ça fasse avancer la réflexion).

Donc, sur le conseil de mon prof, j'ai pu enfin lire The Livre. En deux volumes, s'il vous plait. Deux textes plutôt courts, qui racontent une histoire un peu dingue. Tellement que je ne peux même pas la raconter ici. Une dizaine de personnages se rencontrent, s'affrontent, tombent amoureux au fil de quelques pages dans le chaos le plus total, entre transactions douteuses, enlèvements, gros bateaux (et princesse nue qui chante dans un dialecte non traduit.) Gros coup de coeur pour le deuxième tome encore plus drôle que le premier, qui commence sur un fond d'une mauvaise intrigue hollywoodienne pour finir par le départ de d'auteur. On le comprend d'ailleurs ce pauvre auteur qui n'aime pas trop que ses personnages prennent le contrôle de l'histoire, le séquestrent ou réécrivent le texte à sa place.
Pour mettre un peu de couleur dans votre vie de bureau, je vous en conseille vivement la lecture. Le titre du bouquin : Les aventures de Sivis Pacem et de Para Bellum. (si rien que le titre vous fait dire : "c'est quoi qu'cet'ouvrage, tabernak?" (je vous prie d'excuser mon accent, j'ai eu C en "imitation d'accents"), foncez-le lire). L'auteur : Louis Gauthier (merci à lui pour quelques fous rires). 

Sinon, rassurez-vous, j'aime d'autres auteurs québécois. J'en parlerai sûrement prochainement. 

Allez, c'est la fin de la minute culturelle (ou en d'autres mots, remballez, c'est pesé). La prochaine fois, je parlerai de cheveux (et pas n'importe lesquels). Alors pour l'article capillaire, comme on dit chez moi, restez branchés.

N.D.

Dix doigts et quelques billes...

À un moment, dans ma jeunesse, j'achetais n'importe quoi comme bijoux, tant que ça ne coûtait rien, parce que, bah, j'avais pas un rond.

Maintenant, je n'ai pas plus d'argent, mais je sais évaluer (la plupart du temps), la qualité d'un bijoux. Et des trucs à 1$, bien... ça paraît. Comment mettre un peu de couleur dans nos habits sans se ruiner? Faire ses bijoux soi-même!

Oui, ça prend un peu de talent, beaucoup de patience, et un peu d'argent pour ramasser une petite quantité de perles (il y a des marchés vraiment pas cher cependant, et vous pouvez aussi décortiquer vos vieux bijoux que vous ne portez plus!). Mais après, vous pouvez en faire pas mal. Ça s'offre bien en cadeau, c'est joli, c'est une super activité à faire entre amies... Trop chouette quoi!

Quelques exemples de mon cru...




F.D.

samedi 2 avril 2011

Grande occasion... manque d'imagination?

Vous savez, chers chicks, il y a des moments dans la vie qui engagent à beaucoup de choses. Acheter une maison par exemple.

Le jour de la signature, au lieu de penser (ou pour ne pas penser) à l'énormité de ce que ladite signature engage, je me suis donc demandée : quoi mettre?

Tailleur? Na! Trop chic. Jeans? Bah! Pas assez. Couleurs? Hum... Il fait moche dehors.

Après quelques temps de cogitations, j'en arrivai à ce résultat, qui, ma foi, ne fut pas trop mal. Skinny de chez la Baie, veste grise de H&M, chandail Urban Outfiter. Joooooolies bottes de Feet First.

Désolée pour le Photoshop déficient, il me manque pas mal de pratique!

F.D.