mercredi 30 mars 2011

Rigor mortis

On vous avait promis du latin?
Naaaan pas d'inquiétude mes lapins je ne suis pas (encore) d'humeur pour un post dans la langue du sexy Virgile (oui, j'ai décidé que Virgile était sexy)

Fin de session oblige, il est de mise de parler quelque peu de procrastination... Chaque année aux mêmes périodes (fin décembre et fin avril... par hasard quand j'ai un million de pages sérieuses à écrire) il me prend l'envie irrépressible de lire du Patricia Cornwell. (Oui, oui ma relation avec ma chère Paty tient sur le socle fragile de la fin de session et en bonus... elle m'empêche de dormir par peur des psychopathes sanguinaires qui pourraient m'attaquer dans mon lit... "Matthieu t'as fermé la pooorte?? T'es suuuuur??).



Patricia Cornwell est une écrivaine américaine originaire de Miami bestseller de littérature policière. Dans ses romans palpitants le lecteur suit le Dr Kay Scarpetta, médecin légiste de la ville de Richmond. A travers 19 livres (pour l'instant), notre héroïne, belle italienne quarantenaire dissèque (au propre comme au figuré) les crimes les plus abjects perpétrés par de terribles psychopathes avec l'aide de son associé, l'officier Pete Marino.
La structure est assez répétitive mais étonnement toujours diablement efficace. Kay autopsie très tôt dans le roman, le premier corps ayant subi de cruels mais étonnants sévices. Les indices qu'elle retire de cette première étude sont troublants et insondables. Puis la course au meurtrier/(souvent)violeur (qui, lui, continue à tuer tranquilos dans son coin) s'amorce avec l'aide de Marino, l'officier bourru et attachant et celle de l'agent du FBI Benton (que je m'imagine très sexy et avec qui Kay aura une aventure dans un des romans mais shuuuuut!). Kay finit presque toujours par se trouver la cible du terrible meurtrier (évidemment). Malgré cette structure qui est assez semblable à tous les romans, pas un seul ne m'a déçue et tous m'ont fait faire des cauchemars (qui est, me semble-t-il, un gage de qualité même si je suis la créature le plus peureuse du globe)

Le premier de la série s'appelle Post Mortem (ooooh du latin!!) et il est totalement flippant!


Mais évidemment, quand on dit bestseller, on dit adaptation cinématographique (ce qui a tendance à me tendre mes petits nerfs mais ceci est une autre histoire). Pour le rôle de Scarpetta ils ont choisi nulle autre qu'Angelina Jolie.... Mouai... un peu trop bombasse à mon goût même si je sais d'avance que TOUT dans cette adaptation va me déplaire...

petite photo si jamais on ne se souvenait plus de la face de la Jolie avec grosses lèvres à la clé



Voilà donc (même si on repassera pour l'originalité) un de mes auteurs de procrastination préférés! si on veut pousser le vice jusqu'à rendre notre lecture utile, on pourrait les lire en anglais mais bon... faut pas pousser Mémé...

Love
A.D (vite fait mon nom en initiales veut dire Anno Domini, niarf je me trouve très latinement classe)

Le choc des Titans

Ami lecteur, ce post va sûrement te plaire. Groupie de celui qui que l'on appelle dans un jargon qualifié follement de "people" (à prononcer pipole et non pas poppeule, comme me pousserait à le faire mon accent "sud de la france") Rob, voire Robz et autres surnoms revêches : je te vois déjà monter la barricade contre l'article qui s'en vient. J'ouvre donc le duel de deux écrits : Dracula vs Twilight. Que le meilleur gagne.

Quid de la diégèse ? L'un, roman gothique, retrace le journal de Jonathan Harker, jeune anglais qui part à la rencontre du comte Dracula en Transylvanie, dans le cadre d'un voyage d'affaires. De nombreux indices l'avertissent de la véritable nature du comte. Aidé  du scientifique Van Helsing, le héros va tenter de dévoiler le mystère qui entoure le noble, sauvant par la même occasion sa fiancée Mina, tombée sous la coupe de Dracula. L'autre, saga qui s'inscrit dans une veine fantastique, raconte la rencontre d'une jeune fille un peu maladroite, Bella, avec un vampire et sa famille, Edward, en particulier leurs amours : union, rupture, combat contre de méchants vampires. Ah oui, il y a aussi des loups garous.

Bon. Je confesse. Mes études m'orientent plutôt à disqualifier le second roman d'avance. Mais j'ai quand même lu la saga Twilight, preuve de mon ouverture d'esprit. Première confrontation de ces romans : j'ai dû lire Dracula en quelques jours, annotant le livre de remarques, revenant sans cesse dessus. L'ayant fini, je n'ai eu qu'une envie : le relire. J'ai lu Twilight en trois jours, durant des voyages en train, trouvant que ça se lisait bien. Pas besoin de relire, je me rappelais de l'histoire et m'en rappelle encore. 

Alors là, lecteur, tu dois te demander : "Mais où veut-elle en venir ?". La réponse est simple. Après mon débat amorcé sur les classiques, je veux me demander ici : qu'est-ce-qui fait un grand roman ? Ce n'est pas forcément l'histoire (quoique). Ce sont les thèmes abordés, les réflexions lancées. Bram Stoker invoque différentes sources, historiques et littéraires. Il lance des pistes de lecture : figure du scientifique, introduction de la criminologie en littérature, circulation de la parole sous ses divers médias, condition de la femme sous l'époque victorienne. On ne sait jamais vraiment qui est ce Dracula : vampire, monstre, animal ? Stephanie Meyer aborde les difficultés de l'adolescence, certes. Et puis, on peut voir une certaine dimension psychanalytique dans le fait de mordre (ami de Freud, bonsoir). (J'ouvre une parenthèse pour demander si quelqu'un aurait un sens supplémentaire à donner cette histoire, une analyse qui casserait plus de trois pattes à un canard, quatre ou cinq au mieux).

Revenons à nos moutons. Enfin à nos vampires (l'un en étant la figure la plus emblématique, l'autre brillant au soleil (alors, là on pourrait y revenir aussi dessus, parce que d'accord "diamonds are a girl's best friend", mais c'est tout)). Ce qui fait un grand roman c'est sa postérité. Qu'il traverse les siècles. Désormais, j'espère que Twilight ne sera jamais au programme scolaire en littérature. Parce que la formation intellectuelle ne sera plus ce qu'elle était. Et aussi parce que mon sens critique m'aura fait défaut.


N.D.


En guise de Ps : Je ne résiste pas à l'envie de mettre ici l'affiche du film assez génial de Coppola. Du coup, je suis bien tentée de faire un comparatif entre les adaptations cinématographiques (je pousse le vice un peu loin, j'avoue).  Attendez-vous y donc dans un prochain post.

Ah, les cuisses au chaud!

Amie (pas ami, parce que je m'adresses aux chicks là!), oui oui, je le sais, tu es enfin sortie aujourd'hui le coeur heureux. Car il faisait beau et chaud aujourd'hui, joie dans nos vies!

Ainsi, dans l'ère d'entre-deux où nous entrons (entre la neige qui fond tranquillement et le chaud soleil), le fond de l'air est encore frais. Mais, nos jupes courtes, qui traînent depuis le début de l'hiver dans nos armoires, on les veut!!!!!!

Ergo, comment concilier jupe courte et jambes bien au chaud? Ce n'est pas nouveau, de la mode de l'an passé au moins, je parle évidemment des cuissardes.

Jusqu'à tout récemment, j'étais une folle des jupes, je ne portais que ça. Mais la vie était dure pour mes pauvres jambes frileuses. Les cuissardes furent une révélation.

Alors, profitez-en! Il vous reste quelques semaines pour les porter!

Ci-joint les deux miennes.
La brune a été achetée l'an dernier chez Steve Madden. La noire, cet automne chez Yellow (je suis étudiante quand même!).



F.D

lundi 28 mars 2011

Trois mousquetaires, deux méchants et... un bateau volant?

Tous pour un et un pour tous!

Vous connaissez sûrement. Oui oui, même si vous n'avez pas lu les célèbres Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas (comme moi il y a un mois...).

Après des adaptations, des ré-adaptations, des parodies (Albert le cinquième mousquetaire: http://www.youtube.com/watch?v=1QMNKI7XUfc)... voici bientôt dans nos cinéma une nouvelle version, bien évidemment 3D. 

Le 3D pullule ces derniers temps, même si ça n'ajoute rien à l'histoire.

Bref: Les Trois Mousquetaires 3D (avec Orlando Bloom) sortira en 2011. Seule une bande annonce est disponible et c'est sur elle que je base cette pré-critique.

Imaginez-vous le XVIIe siècle. Vous savez, quand on se déplaçait à cheval? Bien, à ce qu'il paraît, selon le film, il y avait aussi des bateaux volants. Des armes vraiment fancy, des couloirs piégés... Heuuuuu...

Le film a l'air génial. Les effets spéciaux spectaculaires. Les acteurs, bien... Orlando Bloom, ça dit tout. La fille est jolie aussi, Mila Jovovich oblige. Mais, mais, et c'est ma récrimination, prendre quelques noms, une trame et faire un  film vraiment différent du livre. Bah, c'est peut-être parce que je planche sur ce bouquin depuis une semaine, mais ça m'embête un peu.

Quoique certaines adaptations, comme Gankutsu, sont géniales. Mais le titre de ce dernier montre justement une distance par rapport avec le Monte-Cristo original.

Enfin, ça reste à voir. Est-ce une bonne adaptation (malgré tout) ou un film d'action qui emprunte son titre à un grand roman afin de ramasser plus de bidoux?

Pour vous laisser faire votre propre opinion, voici le bande annonce!





Gloutonnerie à venir

Dans moins d'une semaine mes amis, les Chicks s'en iront dans une forêt canadienne reculée pour se goinfrer de délicieux mets à l'érable comme la tradition l'exige.

(eh oui, la fiestaaaaa)



(ici: petit souvenir de la gloutonnerie thanksgivingnesque)

Photos et résumé de l'événement gargantuesque à venir!!



A.D

dimanche 27 mars 2011

Revenir aux classiques

En ce moment, je délaisse un peu ma lecture fantasy, études oblige. Du coup, au programme, c'est plutôt du Zola que des romans "détente". Il faut bien avouer qu'en pensant "lectures de loisir", je pense peu aux classiques : Zola, Hugo, Maupassant (pour rester dans le dix-neuvième siècle). Je me suis donc attelée à la tâche avec un peu de répugnance. Et pourtant ! En ouvrant le dit livre, j'appréciai pleinement ma lecture. Sous mes yeux, les mots chantaient à mon oreille, l'histoire m'accrochait plutôt pas mal et je me liais de sympathie avec les personnages (bon, surtout avec l'héroïne, il faut bien avouer que les personnages zoliens ne sont pas des enfants de choeur).

Alors, pourquoi une telle résistance de ma part à lire des classiques dans mon temps libre. Il faut tout d'abord avouer qu'il est difficile de trouver du temps pour les romans de loisir (oui, oui, je sens bien le lecteur condescendant taxer le littéraire de flemmard). Ensuite, Zola, Hugo, Corneille... ça rappelle avant tout les lectures scolaires. Donc, des obligations ("il faut que je finisse mon livre avant l'examen de demain"). Enfin, j'avoue. Peut-être prend-on un peu de distance avec ces lectures à cause de leur contexte : vocabulaire un peu vieillot, siècle révolu, etc. Mais ce qui fait un classique n'est-ce pas sa capacité à traverser les siècles, à aborder des thèmes intemporels, à continuer à nous toucher à travers les âges ?

Bon, peut-être suis-je seule à avoir peur de ces lectures. Peut-être que l'éducation en France en terme de littérature nous fait apprendre au dépend d'aimer. Peut-être aussi faut-il une certaine base littéraire pour apprécier ces romans. Mais il me semble y avoir là avant tout un problème de terminologie. Y-a-t-il un moyen de penser les lectures "classiques" différemment ? Ne faudrait-il pas changer ce mot de "classique", tout aussi désuet ?

Allez, j'avoue, c'était la minute brainstorming. Pour la peine, dans mon prochain post, je confronterai un classique à sa version moins littéraire. J'annonce (et je n'ai pas peur de le faire) le duel Dracula vs Twilight !

N.D.

La tyrannie de l'Histoire

Hier, pendant mon cinq minute de marche en revenant du métro, je me suis rendue compte d'une chose: l'Histoire est tyrannique envers les étudiants.

Prenez un physicien par exemple. Les formules qui ne fonctionnent plus, zou, à la poubelle. On en cherche une meilleure.

Le théorème de Pythagore, il est bon depuis quelques millénaires, on le garde.

En informatique, je suppose que l'on n'apprend pas comment réparer les premiers ordinateurs.

Mais en histoire, plus le temps avance, plus les historiens doivent savoir de choses. À chaque siècle, un nouveau chapitre se crée dans les livres.

D'où ma grande question: dans cinq cents ans (si la Terre existe encore!), les élèves vont devoir s'acheter des livres d'histoire générale de cinq milles pages? Ou alors, la Préhistoire, l'Antiquité, ces «vieilleries» seront réduit à «il était une fois l'homme qui s'est mis debout, puis il a construit des pyramides, puis il y a eu les Grecs et les Romains. Rome a chuté. Moyen Âge. Fin.»

Comment les musées vont-ils pouvoir entreposer les restes des siècles précédents?

Je sais, je pense trop loin. Mais je trouvais intéressant de réfléchir à l'histoire dans l'Histoire.

Alea jacta est!

F.D.

ps.: en me relisant, on peut penser que je jetterais l'histoire à la poubelle. Que nenni, j'adore, je dévore, j'étudie l'histoire!!

samedi 26 mars 2011

Le hérisson qu'on aime bien

Chaque Noël, ma mère m'offre un livre. Elle va à la librairie, demande conseil, et, généralement, revient avec un ou deux romans merveilleux.

Si Un roman français, livre de Noël 2010, me hérisse vraiment (j'entre difficilement dans les pseudo-autobiographie), L'élégance du hérisson, choix maternel de Noël 2009, fut une révélation.

Je sais, je sais, ce livre a connu un succès monstre. Mais je ne le savais pas alors. Et au départ, lire la vie d'une concierge moche et d'une petite fille suicidaire... disons que je louchait du côté de mes Agatha Christie ou de mes romans fantastiques quand est venu le temps de prendre une pause-lecture.

Qu'à cela ne tienne, un cadeau est un cadeau, et le livre devait bien avoir quelque mérite comme il avait été recommandé à ma maman.

L'élégance du hérisson porte finalement bien son nom. Le livre, les phrases, les thèmes, les mots, sont d'une grande élégance. C'est un des rares livres que j'ai dévoré le surligneur dans une main, un crayon dans l'autre. Je l'ai lu, relu, et vais le relire. je suis affamée des métaphores, de l'histoire simple mais belle, des camélias sur mousse. 

En bref, si vous ne l'avez pas lu, hop, filez en librairie.

Il y a aussi un film, L'hérisson, mais je ne l'ai pas vu. J'ai peur d'être déçue.

«Où se trouve la beauté? Dans les grandes choses qui, comme les autres, sont condamnées à mourir, ou bien dans les petites qui, sans prétendre à rien, savent incruster dans l'instant une gemme d'infini?»




vendredi 25 mars 2011

Cap ou pas cap ?

Ce qui est bien avec le printemps montréalais c'est qu'il permet aux chicks d'alterner entre les lectures au chaud chez soi et les sorties. Je vous livre alors dans un seul post, mes deux coups de coeur culture/mode du moment.
Alors, quand il fait un crisse de temps dehors, on lit quoi ? Pour ma part, en ce moment, c'est Le Trône de fer, un cycle fantasy à multiples voix qui raconte les victoires et échecs politiques de familles royales pour accéder au fameux trône. Bref, une histoire complexe et passionnante.. Difficile d'en décrocher !



Enfin, j'avoue mon coup de coeur vestimentaire depuis toujours : la cape. Quelle joie pour moi alors de la voir sur les défilés l'an dernier. Même si elle d'abord du genre pratique pour cacher les excès de l'hiver, on va la préférer courte - pour éviter l'effet "je participe à des reconstitutions historiques" (enfin, si tu cherches un nerd, la cape longue est faite pour toi).  Ma préférée ? Bleu marine avec une touche "veste militaire".



Et vous les chicks, pour ou contre la cape ?

Post signé -N.D.-

Oh my trench!

Oui vous l'aurez compris, ici à Montréal, on se pèle encore les miches alors que toute la planète se dore déjà la pilule en reniflant les fleurs des champs...

Mais comme il est de mise de rester sereines et philosophes en tout temps, on se réjouit de se souvenir qu'être fashion ça se conjugue à toutes les températures. On ne recule donc devant aucune solution pour sourire à ce printemps qui tarde...

Après les bottes de pluie, voici le Trench Coat!

Indispensable dans un penderie, il affine la taille tout en métamorphosant toutes les tenues. Le jour, portez-le avec des ballerines (si le temps le permet) ou des jolies bottes de pluie à fleur et le soir il s'accorde à merveille avec vos plus belles pumps,


La preuve: (bon même si c'est des stars canons, on a le droit de rêver)





Même si le beige reste LA couleur indispensable, osez les couleurs vives (comme le jaune ou le rouge) pour un look encore plus tendance et flashy!

(et en bonus on ressemble à Jessica!)

Pour ma part je suis tombée AMOUREUSE de ce petit bleu de chez Matalan



Donc tu peux rester où tu es printemps capricieux, on a de quoi t'attendre au chaud!

Le recyclage, on aime.... surtout quand c'est mignon!

En lisant La Presse et autres sites, et par bouche à oreille, je découvre de plus en plus de produits recyclés. Et pas des trucs moches, non non, mais de la qualité!

Et je trouve cela génial de pouvoir consommer de manière responsable. Tout en beauté!

Pour l'instant (parce que je sais qu'il doit y avoir des centaines de sites proposant des articles responsables), je vous laisse avec celui-ci: des sacs faits à partir de parapluie.

http://www.klinikadesigns.com/index.html

jeudi 24 mars 2011

Bene!

Je tiens à souligner l'excellent travail de mes consoeurs Chicks française et suisse dans le séminaire de maîtrise.

Solides leurs sujets? Ohhhhhh oui!

Comme quoi on peut être intelligente, jolie et drôle tout à la fois!

Printemps et bottes de pluie

C'est le printemps!

Je sais, chers Montréalais, pas comme vous (nous) le souhaitons. Oui oui, souvenez vous, 31 mars 2006. Ce 31 mars, il faisait assez chaud pour être en sandale et en jupe courte. Souvenirs...

Alors que là!!! Oui oui, je sais, il y a TOUJOURS La  dernière tempête de neige de l'année. Celle qui arrive sournoisement après un redoux, pour nous rappeler que l'Hiver, avec un grand H, est là, et veille à ne pas nous le faire oublier.

Ergo (le latin du premier message, vous vous souvenez? sortez votre Gaffiot!), ergo, la tempête du début de semaine, bon, passe encore, on supporte. Mais aujourd'hui, non! Même la petite neige, non! C'est le printemps!

D'où ma grande découverte de l'année. Non, pas vraiment un scoop, mais bon. Les bottes de pluie. Pendant des années, je les regardais avec suspicion. Pas très sexy, et surtout très chères (vous savez comment faire fortune avec du latin vous?). Bref, pas de bottes de pluie toutes ces années durant. Mais les pieds trempés, oui.

En magasinant en février, je suis tombée sur une paire de botte de pluie Clark à 30$. Noires, mais bon, à ce prix d'ami, on regarde les jolies bottes colorées avec envie, mais sans se plaindre. Et vraiment, c'est le bonheur. Je saute dans les flaques. Amenez-en de la pluie, je suis prête!

Mais bon... j'aurais quand même aimé de la couleur, comme ces jooooolies bottes!

Et celles-ci pour 20$ chez Aldo! (enfin, un modèle similaire trop chou!)

Bref, tendance et utile, la classe quoi! :-)

Et vous, des préférences?

Ps.: Les miennes et ceux de ma super amie que je trouve troooop colorées!!!!! À la cabane à sucre, dans les chemins «bouetteux», c'est pire pratique, comme dirait une Suisse de ma connaissance!

Cave canem para bellum les gars

Salut les potes et les chum

T'aimes le chocolat? (ouiii!)
T'aimes les livres bien gros et poussiéreux? (euh ça va...)
T'aimes le latin? (non) ok pas grave...
Mais par contre, t'aimes la mode? (ouiiiiii!)

Alors cave canem et welcom chez nous mon ami, nous t'aimons!